Ephelyade - Des avalanches d'or du vieil azur"Un esprit tordu est artistiquement droit" G. BCowbloghttp://ephelyade.cowblog.frFri, 13 Jun 2014 18:09:19 +0200180L'eau.Fri, 13 Jun 2014 18:09:00 +0200Fri, 13 Jun 2014 18:09:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/l-eau-3266420.htmlEphelyade.
]]>EtendueTue, 03 Jan 2012 21:57:00 +0100Tue, 03 Jan 2012 21:57:00 +0100http://ephelyade.cowblog.fr/etendue-3160668.htmlEphelyade
Toucher le sol et le ciel.
S'envoler dans la fusion des mondes.
Se laisser happer par la "sensation d'univers"...
]]>VacillerSat, 07 May 2011 14:51:00 +0200Sat, 07 May 2011 14:51:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/vaciller-3106855.htmlEphelyade
]]>InnondationSat, 07 May 2011 14:09:00 +0200Sat, 07 May 2011 14:09:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/innondation-3106849.htmlEphelyade
Laisser tous nos pétales.
Nos pétales dans les yeux des autres.]]>SuspensionThu, 05 May 2011 22:32:00 +0200Thu, 05 May 2011 22:32:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/suspension-3106472.htmlEphelyade
]]>PerlerThu, 05 May 2011 21:20:00 +0200Thu, 05 May 2011 21:20:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/perler-3106456.htmlEphelyade
Des ces bouts de cristal qui perlent la nature, se dégage un rayonnement...
Une nitescence qui instille une teinte de vermeil en pleine poitrine.
]]>L'un avec l'autreThu, 05 May 2011 20:02:00 +0200Thu, 05 May 2011 20:02:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/l-un-avec-l-autre-3106440.htmlEphelyade
"Mais rendre la lumière
suppose d'ombre une morne moitié"
P. Valéry
]]>Et...Thu, 05 May 2011 19:35:00 +0200Thu, 05 May 2011 19:35:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/et-3106430.htmlEphelyade... ces couleurs qui se répondent, ces sentiments qui s'entremêlent, ces regards qui s'échangent en intensité. Tout y est. Une abondance de présence qui appelle pourtant à l'absence. Le fou, le fort, le beau, l'éclat ... appellent à leur inverse. Mais ils sont là .
]]>L'amerThu, 05 May 2011 17:56:00 +0200Thu, 05 May 2011 17:56:00 +0200http://ephelyade.cowblog.fr/l-amer-3106413.htmlEphelyade
Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.
Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.
La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.
Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.
